Manifeste

Manifeste : Donner une vraie place à la sexualité et faire (enfin) tomber les tabous et clichés.

Ma vision : L’intime est politique

Quand on travaille dans le domaine de l’intime, il n’est pas juste question d’algorithme, de stratégie, ou de marketing.
On parle de corps, de désir, de vulnérabilité, de pouvoir, de transmission, de réparation.
On parle de tout ce que la société cache, juge ou ridiculise… et qu’on choisit ici de célébrer.

Je m’appelle Marie Brassel, et je suis persuadée que l’intime est un terrain politique qui dépasse largement la chambre à coucher. C’est aussi un territoire économique, social et politique où chacun·e mérite de faire sa place, sans se cacher ni s’excuser.

« La révolution sexuelle ne sera complète que lorsque nous aurons transformé non seulement nos pratiques, mais aussi notre façon d’en parler. »
Dr. Emily Nagoski, « Come As You Are »

La réalité derrière le tabou : Spoiler alert, on est mal barré.e.s (mais pas sans espoir !)

Quelques chiffres qui font grincer des dents

  • 78% des femmes et 63% des hommes galèrent à parler de leurs besoins intimes, même avec leurs partenaires. Oui, même après 10 ans de vie commune et un chat en commun ! (Institut Kinsey, 2023)
  • À peine 19% des adultes ont eu droit à une éducation sexuelle digne de ce nom. Les autres ? Ils ont appris avec Internet et… bon courage ! (UNESCO, 2024)
  • 51% des pros de la santé sexuelle se font régulièrement censurer en ligne quand ils essaient juste de faire leur boulot d’éducation. Pas cool. (Rapport sur la liberté numérique, 2024)
  • Si tu crées du contenu éducatif sur la sexualité, tu es 27 fois plus susceptible de te faire dégager des algorithmes que si tu parles de comment faire un gâteau. Cherchez l’erreur ! (Étude d’impact digital, 2023).

On est face à un paradoxe absurde : l’intime concerne 100% des humains sur cette planète, mais on manque cruellement d’espaces pour en parler sans se sentir jugés, censurés ou bizarres.

Mon parcours : De rat de bibliothèque à licorne de l’intime

Pendant plus de 10 ans, j’ai eu le nez plongé dans les bouquins d’histoire de la sexualité.
J’ai vu comment les femmes et les personnes marginalisées ont été systématiquement effacées des récits historiques, comment le patriarcat s’est fait une joie de réécrire l’histoire et comment les récits queer ont été soigneusement rangés dans le placard (ironique, non?).
Au fil de mes recherches, j’ai réalisé que nos tabous sexuels ont un ancrage pluriséculaires. Ils sont le fruit d’une construction sociale, religieuse et patriarcale qui a encore une influence directe sur notre société actuelle.

Quand j’ai fait le choix d’arrêter mon doctorat, j’ai eu envie de mettre à profit ce que j’avais appris. Si on ne peut pas changer le passer, on peut agir sur l’avenir. C’est ce qui m’a poussée à me spécialiser dans l’intime. Rendre hommages aux oubliées du passé en agissant concrètement sur la démocratisation de la sexualité.

Mon engagement : Communication efficace, consentie et bienveillante.

Je suis là pour accompagner, avec autant d’expertise que de bienveillance :

  • Les créatrices de contenu sur OnlyFans, MYM et ailleurs, qui en ont assez de jongler entre précarité et honte. Parce que non, vendre du contenu érotique n’est pas moins noble que vendre des formations en marketing !
  • Les pros de la santé sexuelle, ces héros et héroïnes de l’ombre qui bataillent pour que chacun·e comprenne enfin comment fonctionne son corps. La révolution passe aussi par l’anatomie, on ne le dira jamais assez !
  • Les coachs love, sexo et tantriques qui méritent mieux que d’être traité.e.s comme des illuminé.e.s ou des pervers en puissance par les algorithmes.
  • Les artistes de l’intime, explorateurs-trices courageux de l’érotisme, du queer, du plaisir, qui créent des œuvres qui font autant réfléchir que frissonner.
  • Les marques et assos qui veulent parler d’intime sans tomber dans le piège du « pink-washing » ou des messages culpabilisants. Oui, on peut vendre des sextoys sans infantiliser les gens,

La sexualité comme droit fondamental : Même l’ONU est d’accord

Ma vision ne sort pas de nulle part – elle s’aligne avec les fameux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU. Comme quoi, je ne suis pas la seule à penser que tout ça est indispensable !

  • ODD 3 : Bonne santé et bien-être – Parce qu’une vie sexuelle épanouie, c’est aussi important que de manger cinq fruits et légumes par jour !
  • ODD 5 : Égalité entre les sexes – Exit les « les hommes sont tous des… » et les « les femmes ne peuvent pas… ». Ces stéréotypes nous pourrissent la vie intime depuis trop longtemps.
  • ODD 10 : Réduction des inégalités – L’info sur la sexualité ne devrait pas être un privilège de classe, mais accessible à tout le monde, peu importe ton code postal ou ton compte en banque.
  • ODD 16 : Paix et justice – Parce que lutter contre les violences sexistes et sexuelles commence par l’éducation. On apprend bien aux enfants à ne pas mettre les doigts dans la prise, on peut bien leur apprendre le consentement, non ?

Contre les violences sexistes et sexuelles : L’éducation est la première solution.

Je prends position, fermement et sans ambiguïté, contre toutes les formes de violences sexistes et sexuelles. Et plutôt que de jouer les moralisatrices, je suis convaincue que l’éducation est notre meilleure arme pour changer les choses à notre niveau.

Quelques chiffres qui font froid dans le dos :

  • 1 femme sur 3 subira des violences physiques ou sexuelles dans sa vie. C’est énorme, et c’est inacceptable. (OMS, 2024)
  • 93% des victimes connaissent leur agresseur. Le danger n’est pas toujours là où on l’imagine. (RAINN, 2023)
  • La bonne nouvelle ? L’éducation au consentement dès l’enfance réduit de 68% les risques de perpétration de violences sexuelles. L’espoir est là ! (Étude sur la prévention, 2023)

La Methodo de la Licorne : un cocktail bien dosé !

  1. Une dose de sensibilisation au consentement (sans lequel rien n’est possible)
  2. Un zeste de déconstruction des mythes toxiques (non, « non » ne veut pas dire « peut-être »)
  3. Une mesure de développement de compétences relationnelles (parce que parler, c’est sexy)
  4. Et le tout servi dans un espace sûr pour dialoguer sans jugement

La sexualité concerne tout le monde.

Si tu me suis sur Instagram, tu sais que j’aime à répéter que la sexualité n’est pas un privilège réservé aux jeunes, beaux, minces, valides, hétéros, etc. C’est un droit universel qui appartient à chacun·e, que tu aies 20 ou 105 ans, que tu sois célibataire ou en polycule, que tu sois valide ou en situation de handicap.

La sexualité et la santé sexuelle, c’est l’affaire de TOUT LE MONDE.

Elle appartient tout autant aux célibataires (non, ils ne sont pas en « attente » de quelque chose), aux personnes queer (qui ne sont pas juste une case à cocher dans ta stratégie d’inclusion), aux personnes handicapées (dont la sexualité est trop souvent niée), aux seniors (qui ne rangent pas leur libido au placard à 60 ans), et à toutes les personnes que la société préfère ignorer quand on parle de désir.

Il est grand temps de faire exploser ces cases étroites et ces stéréotypes moisis qui nous disent comment, quand et avec qui on devrait exprimer nos désirs ! C’est en diversifiant nos contenus et nos approches que l’on pourra faire bouger les choses.

Mes engagements éthiques :

Je ne plaisante pas avec l’éthique. Voici mes engagements fermes et non négociables :

  1. Consentement et respect – Dans ma comm’, c’est le maître-mot. Pas de consentement = pas de passage.
  2. Inclusion pour de vrai – Pas de token diversity ici. La diversité des corps, des identités et des orientations est célébrée authentiquement.
  3. Info vérifiée – Je ne raconte pas n’importe quoi. Mes contenus s’appuient sur la science, pas sur les mythes de comptoir.
  4. Accessibilité pour tou·te·s – Mes ressources sont pensées pour être comprises par tout le monde, pas juste par les initié·e·s.
  5. Transparence totale – Je joue cartes sur table concernant mes méthodes, mes sources, mes affiliations. Pas de petits caractères ou d’astérisques suspects.
  6. Tolérance zéro pour l’exploitation – Je refuse toute collab qui perpétue l’objectification ou l’exploitation. Pas de compromis là-dessus.

Ce que je défends :

  • Que l’intime n’est pas sale – À l’école, on nous apprend les mathématiques mais pas comment communiquer nos limites. Cherchez l’erreur !
  • Que la communication dans ces domaines peut être à la fois fun ET respectueuse – Fini le choix entre le cours magistral barbant et la blague douteuse.
  • Que le marketing peut avoir des valeurs – Non, tu n’es pas obligé·e de manipuler ou d’objectifier pour vendre. Promis.
  • Que les pros de l’intime méritent le respect – Ils ne sont ni des pervers, ni des gourous, ni des cas sociaux. Juste des professionnels passionnés.
  • Que l’accès à l’information sur la sexualité est un droit, pas un luxe – Au même titre que l’accès à l’eau potable ou à l’éducation.
  • Que l’économie de l’intime est légitime – C’est un espace d’innovation, de créativité, d’autonomie qui mérite d’être reconnu comme tel.

Ma méthode : Je suis ta complice de l’ombre

En te rejoignant dans ton aventure, je t’aide à :

  • Clarifier ton positionnement unique – Même si aujourd’hui tu as l’impression que ton activité est aussi floue qu’une photo prise pendant un tremblement de terre.
  • Oser prendre la parole sans filtre – Même si tu as peur de « trop en dire » et de choquer ta tante Germaine sur Facebook.
  • Bâtir une stratégie de contenu qui tient la route – Sans avoir à te mettre à poil (sauf si c’est ton truc, bien sûr).
  • Booster ta visibilité et tes revenus – Sans vendre ton âme ou t’épuiser à la tâche.
  • Jongler avec les algorithmes capricieux – Pour éviter la censure et le shadow ban qui guettent tous les pros de l’intime.

Rejoins la révolution douce : Pour un monde où l’intime n’est plus tabou

Je peux t’aider si :

  • Tu en as MARRE de te faire shadow-banner tous les trois matins parce que tu as osé écrire « orgasme » ou « plaisir ».
  • Tu veux parler librement de cycles menstruels, de trauma sexuel ou de joie queer sans devoir te justifier ou t’excuser à chaque phrase.
  • Tu rêves de vivre pleinement de ton métier sans te transformer en caricature pour plaire aux algorithmes.
  • Tu aspires à contribuer à un monde où l’intime est traité avec autant de respect que n’importe quel autre sujet.

Et si on faisait un bout de chemin ensemble ?

Que tu sois tout·e timide au début de ton parcours ou déjà bien installé·e dans ton domaine, Que tu gères un compte coquin ou que tu animes des ateliers sur le cycle menstruel, Je suis là, à tes côtés, pour t’aider à trouver ta voix unique et à faire briller ton projet de mille feux.

Ensemble, on peut inventer une nouvelle façon de communiquer sur l’intime : plus libre, plus douce, plus fun, plus puissante.

Pour aller plus loin (si tu es du genre curieux·se)

  • Organisation Mondiale de la Santé (OMS). (2024). Rapport sur les violences basées sur le genre.
  • UNESCO. (2023). L’éducation complète à la sexualité : Un impératif mondial.
  • Institut Kinsey. (2023). Communication intime et bien-être relationnel.
  • RAINN. (2023). Statistiques sur les agressions sexuelles.
  • Nagoski, E. (2021). Come As You Are – Un livre qui change la vie, sans exagérer.
  • Nations Unies. (2022). Objectifs de Développement Durable : Rapport sur l’égalité des genres.
  • Observatoire de la santé sexuelle. (2024). Baromètre de l’accès aux soins en santé sexuelle.

Dernière mise à jour : Avril 2025 (et oui, je tiens mes infos à jour !)

© Studio Madda – Tous droits réservés (mais l’amour, lui, est libre)


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